Quand l’extrême droite se penche sur la « gauche radicale » et sa « violence », ça n’est pas triste. Et tout en finesse. Revue de détail. Un local frontiste, c’est comme une boîte de chocolat : on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Prenez celui de Marseille (6e arrondissement) : le décorum peut laisser de glace et le bar, comme les habitués, ne donne guère envie. Mais côté « littérature », on n’est pas déçu : Valeurs actuelles, Présent… Et, surprise du chef, une bibliothèque où l’on trouve, entre autres, (...)
On venait d’arriver à Marseille. Et, grâce à un Pacs, de transformer une démission en « rapprochement de conjoint », le sésame pour accéder au Saint Graal (Pôle emploi). Pour fêter ça, nous voilà au vallon des Auffes, au restaurant Chez Fon-Fon pour une bouillabaisse. Et tandis qu’on hésitait entre rouille, soupe et poisson, retentit dans notre dos une voix de stentor évoquant la figure tutélaire de Léon Blum ! En nous retournant, on découvrit la silhouette massive et rondouillarde, tout droit sortie d’une (...)
L’extrême droite braconne de plus en plus sur les terres de l’écologie. Enquête sur le « green washing » à la mode frontiste. Un article co-publié avec Le Ravi. À quoi reconnaît-on un frontiste écolo ? À sa monture : une « deuche » pétaradante ! « Voilà Tanguy dans sa belle voiture française, lâche Stephano. Elle est increvable ! » Soupir d’un « camarade » : « C’est même dommage de s’en servir pour les collages… » Mais aujourd’hui, c’est fête, Tanguy Vernay prend la tête du collectif vauclusien « Nouvelle (...)