« Tunis, c’est fini. » Eh bien non, Libé (18/03) s’est trompé. Tunis est vivante. Vivante et chaotique. Les avenues bruissent au rythme des taxis jaunes et de la foule d’étrangers venue des quatre coins du monde pour assister au Forum social mondial (FSM).
Les tunisois craignaient que les Occidentaux ne désertent l’événement, une semaine après que le musée du Bardo a souffert d’un attentat meurtrier. Mais la vie ne s’est pas arrêtée. « Quatre ans après la révolution, on en a vu de toutes les couleurs et (...)