> Grenoble, laboratoire du mépris municipal, paru dans
CQFD n°174 (mars 2019),
rubrique Le dossier
, par Émilien Bernard,
illustré par Claire Cordel
Le 4 avril 2014, quand le jeune et fringant Éric Piolle a été intronisé maire de Grenoble, nombreux furent les camarades à se réjouir. Pensez donc : un maire écolo rassemblant la gauche « radicale » et des assos du coin, ça ne pouvait pas mal tourner. Après de pesantes années de pouvoir « socialiste », enfin une bouffée d’air frais. Mais les mois ont passé et la réalité s’est imposée : pas jojo. Entre répression tous azimuts et fermeture de bibliothèques, novlangue technophile et gouvernance autoritaire (...)