J’ai été salariée dans une association d’insertion pendant 22 ans. Rien à voir avec Kokopelli et les semences mais je me suis tellement reconnue dans le vécu des salariés de Kokopelli !
Le fait de travailler dans une association qui oeuvre pour la bonne cause (quelle qu’elle soit) n’implique pas forcément le respect des salariés, de leur droit fondamentaux et surtout de leur bien être !
Chez nous, tout a commencé à se gâter avec la première élection du délégué du personnel. Chacun de ceux qui ont été élu sont devenu personna non grata et clairement désigné comme personne à qui ne pas parler devant le directeur sous peine de représailles (congés refusés par exemple).
J’ai été salariée dans une association d’insertion pendant 22 ans. Rien à voir avec Kokopelli et les semences mais je me suis tellement reconnue dans le vécu des salariés de Kokopelli ! Le fait de travailler dans une association qui oeuvre pour la bonne cause (quelle qu’elle soit) n’implique pas forcément le respect des salariés, de leur droit fondamentaux et surtout de leur bien être ! Chez nous, tout a commencé à se gâter avec la première élection du délégué du personnel. Chacun de ceux qui ont été élu sont devenu personna non grata et clairement désigné comme personne à qui ne pas parler devant le directeur sous peine de représailles (congés refusés par exemple).