En septembre 1973, j’étais en Algérie pour un voyage de rencontre ainsi que quelques jeunes responsables de mouvement d’éducation populaire comme moi .
Alors que nous étions à Tizi-Ouzou, on ramenait le corps d’une personne assassinée à Marseille parce que, dans les circonstances narrées dans cet article, elle avait eu la « mauvaise tête » au mauvais endroit.
Nous avons d’abord eu quelques inquiétudes pour notre présence. Inquiétudes infondées.
Jamais, nous n’avons eu une réflexion ou un regard de reproche. Encore moins un geste d’hostilité.
Jamais on n’a assimilé ce que nous étions et à ce que d’autres avaient fait.
Ce fut pour nous une belle leçon d’humanité.
En septembre 1973, j’étais en Algérie pour un voyage de rencontre ainsi que quelques jeunes responsables de mouvement d’éducation populaire comme moi .
Alors que nous étions à Tizi-Ouzou, on ramenait le corps d’une personne assassinée à Marseille parce que, dans les circonstances narrées dans cet article, elle avait eu la « mauvaise tête » au mauvais endroit.
Nous avons d’abord eu quelques inquiétudes pour notre présence. Inquiétudes infondées. Jamais, nous n’avons eu une réflexion ou un regard de reproche. Encore moins un geste d’hostilité. Jamais on n’a assimilé ce que nous étions et à ce que d’autres avaient fait. Ce fut pour nous une belle leçon d’humanité.