Le malaise de la gauche face à la crise aigüe que nous vivons ici au Vénézuéla en dit plus long que n’importe quel discours.
J’imagine les similitudes des aboiements des chiens de gardes défendant Staline avec les aboiements de ceux défendant aujourd’hui Maduro. Tous bouffent bien.
Le malaise de la gauche face à la crise aigüe que nous vivons ici au Vénézuéla en dit plus long que n’importe quel discours. J’imagine les similitudes des aboiements des chiens de gardes défendant Staline avec les aboiements de ceux défendant aujourd’hui Maduro. Tous bouffent bien.