> Au paradis des repentis, rubrique Chronique carcérale par Jann-Marc Rouillan
La réponse à la demande de conditionnelle de Jann-Marc Rouillan vient enfin de tomber : c’est non, car il n’a toujours pas expié ses péchés.Après dix-huit ans de cabane,il faut encore montrer patte blanche et se signer de l’autre, de préférence à genoux. Heureux les repentis car le paradis de la conditionnelle leur appartient !
NEUF MOIS APRÈS ma demande de libération conditionnelle, grands seigneurs, les magistrats ont enfin daigné me répondre. Sans surprise, leur refus sous forme d’homélie énonce les (...)