Le 17 octobre 2012, le syndicat national des internes de spécialité (ISNIH) lance une grève assortie d’une manifestation parisienne aux multiples motivations : outre les classiques revendications sur leurs rémunérations ou la défense de la liberté d’installation, on trouve le refus de la limitation des dépassements d’honoraires, dit de « secteur 2 ». Ou comment, sous la blouse blanche de la défense de « l’accès aux soins », ces privilégiés de la médecine veulent défendre leurs juteux avantages.
Fin (...)