Tous à bord ! On coule !

C’est depuis notre gaillard d’arrière enfumé et blindé comme rarement qu’est écrit ce « Ça brûle ». Pourtant, quand le bateau coule, les rats quittent le navire, non ? Car il y a bien une voie d’eau dans la coque de notre frêle esquif, et nous avons les pieds mouillés (les tonneaux sont au sec). Mais qu’importe, nous sommes prêts à couler avec le navire ! Et les récalcitrants seront attachés à leur bureau !

Nous l’annoncions le mois dernier, nous la lançons ce mois-ci : La guerre des kiosques est déclarée ! Notre objectif ? Rester à flot. Nous commençons gaillardement par la Bretagne, sur le front occidental. Breizhous, engagez-vous ! Commandez des affiches CQFD pour colmater les fuites chez vos marchands de journaux !

Poussant l’offensive, nous enrôlons une armée de mousses, des colpos prêts à ramer sec pour vendre ce canard à la criée sur tous les pontons de France. D’ailleurs, on remercie ceux qui, plus ou moins contre leur gré, viennent de monter à bord : les camarades du Champ commun à Augan (Morbihan), ceux du Café Grenouille à Langeac (Haute-Loire) et enfin les gens du Souleillac à Clermont (Ariège). Vous aussi, en ces temps de tempête économique, venez écouler CQFD ! Pour les bénéfs, nous vous faisons confiance… Bien obligés : on ne peut plus pendre à la grande vergue.

L’équipe de CQFD

NB : Pour contacter le capitaine ? momobrucke[aquitourne]cqfd-journal.org.

Cet article fantastique est fini. On espère qu’il vous a plu.

Nous, c’est CQFD, plusieurs fois élu « meilleur journal marseillais du Monde » par des jurys férocement impartiaux. Plus de vingt ans qu’on existe et qu’on aboie dans les kiosques en totale indépendance. Le hic, c’est qu’on fonctionne avec une économie de bouts de ficelle et que la situation financière des journaux pirates de notre genre est chaque jour plus difficile : la vente de journaux papier n’a pas exactement le vent en poupe… tout en n’ayant pas encore atteint le stade ô combien stylé du vintage. Bref, si vous souhaitez que ce journal puisse continuer à exister et que vous rêvez par la même occas’ de booster votre karma libertaire, on a besoin de vous : abonnez-vous, abonnez vos tatas et vos canaris, achetez nous en kiosque, diffusez-nous en manif, cafés, bibliothèque ou en librairie, faites notre pub sur la toile, partagez nos posts insta, répercutez-nous, faites nous des dons, achetez nos t-shirts, nos livres, ou simplement envoyez nous des bisous de soutien car la bise souffle, froide et pernicieuse.

Tout cela se passe ici : ABONNEMENT et ici : PAGE HELLO ASSO.
Merci mille fois pour votre soutien !

Facebook Twitter Mastodon Email Imprimer

Écrire un commentaire