Bonnes résolutions : le retour
L’équipe de CQFD vous lance, lectrices et lecteurs de partout, un vibrant appel… Non, non, rangez vos chéquiers, vous avez déjà donné. Ce qui se joue ici, c’est de revigorer la diffusion de notre mensuel préféré. En effet, la circulation de nos critiques et expérimentations sociales demeure tributaire de la santé, plus que fragile, du marché de la presse papier. Avançant au rythme et au coût des rotatives et des camions, votre mensuel résistant avec acharnement au tout numérique est chaussée de semelles de plomb si on le compare à l’instantanéité du Net. Plutôt que de se lamenter et pour que l’aventure continue (saisons 11, 12, 13…), pourquoi ne pas titiller des modes de communication qui, en plus d’être totalement décroissants, ont fait leurs preuves : la transmission du canard par le bouche à oreille ou encore de la main à la main. Nous cherchons des lieux singuliers, hors des kiosques, pour distribuer CQFD : locaux associatifs, librairies, médiathèques, cafés, repaires de réfractaires, souks, phares bretons, etc. Envoyez-nous vos meilleures adresses.

Vous pouvez aussi enfin passer à l’action et devenir colpo en envoyant un petit courrier à momobrucke@cqfd-journal.org. Enfin, rien ne vous empêche de nous commander des vieux exemplaires du journal pour les déposer en loucedé chez votre coiffeur, votre CAF ou votre ostéo ou les abandonner à la curiosité du quidam dans les transports et nourrir ainsi cet autre réseau social animé par tous ceux qui restent insatisfaits de la marche de ce monde. Faites-nous connaissance…
L’équipe de CQFD
PS : Ah oui, bientôt l’audience du procès que nous intente la société Eurochallenges à Lyon, on y reviendra…
Cet article fantastique est fini. On espère qu’il vous a plu.
Nous, c’est CQFD, plusieurs fois élu « meilleur journal marseillais du Monde » par des jurys férocement impartiaux. Plus de vingt ans qu’on existe et qu’on aboie dans les kiosques en totale indépendance. Le hic, c’est qu’on fonctionne avec une économie de bouts de ficelle et que la situation financière des journaux pirates de notre genre est chaque jour plus difficile : la vente de journaux papier n’a pas exactement le vent en poupe… tout en n’ayant pas encore atteint le stade ô combien stylé du vintage. Bref, si vous souhaitez que ce journal puisse continuer à exister et que vous rêvez par la même occas’ de booster votre karma libertaire, on a besoin de vous : abonnez-vous, abonnez vos tatas et vos canaris, achetez nous en kiosque, diffusez-nous en manif, cafés, bibliothèque ou en librairie, faites notre pub sur la toile, partagez nos posts insta, répercutez-nous, faites nous des dons, achetez nos t-shirts, nos livres, ou simplement envoyez nous des bisous de soutien car la bise souffle, froide et pernicieuse.
Tout cela se passe ici : ABONNEMENT et ici : PAGE HELLO ASSO.
Merci mille fois pour votre soutien !
Cet article a été publié dans
CQFD n°114 (septembre 2013)
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Paru dans CQFD n°114 (septembre 2013)
Dans la rubrique Ça brûle !
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Mis en ligne le 14.09.2013
Dans CQFD n°114 (septembre 2013)
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