Crise de foie

Le journal que vous tenez entre les mains (et pour les moins chanceux, que vous lirez dans quelques semaines sur vos écrans) a bien failli ne pas exister. A quelques jours du bouclage final de ce n°122, nous ne savions pas encore ce qu’il y aurait dans nos pages ce mois-ci. Entre un pont et l’autre, les vacances et les œufs en chocolat, notre petite équipe avait bien du mal à trouver des plumes pour écrire, des crayons pour illustrer, des témoins pour témoigner et des chroniqueurs pour chroniquer. A jour J-5, nous avons même envisagé de repousser la date de parution de votre journal préféré à début juin pour ne pas publier une page sur deux toute blanche. Et puis, un sursaut de motivation, un coup de collier dans la dernière ligne droite, un coup de gueule du camarade François et du maquettiste, une blague de Micka, un mot rassurant de notre Iffik et v’là qu’on y arrive tout de même !

Tout ça pour vous dire deux choses : primo, contrairement à la légende, pour chacun de nos numéros nous avons toujours besoin de propositions fraîches et inattendues. Deuzio, on cogite actuellement à modifier notre date et rythme de parution à la rentrée. Si on décide de paraître tous les deux mois avec un numéro plus épais, vous suivez ?

La bonne nouvelle, c’est qu’un copain nous a arrangé nos plafonniers, le local est de nouveau éclairé, merci Jipé ! La mauvaise, c’est que vu l’état de notre trésorerie, ils vont finir par nous couper l’électroque ! On exagère mais à peine. Bon on vous en recausera plus tard. Faut pas se casser le moral en une seule fois !

Cependant, ne serait-ce que pour oublier nos déboires financiers chroniques et en l’honneur du dossier « Vins libertaires et bières sociales », trinquons plutôt : à la bonne vôtre !

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