La dernière chance

« Malgré la tournure capitaliste que tu prends avec tes tarifs prohibitifs, je continue coûte que coûte. » Voilà ce qu’écrit Fouad à propos de notre CQFD à 4 balles, même si nos « tarifs dignes d’un bar parisien de Château rouge cherchant la gentrification » ne l’empêchent pas encore de nous lire. Et nous l’en remercions…

Ce n’est d’ailleurs pas fini puisque nous allons, à partir du mois d’octobre, aligner le prix de l’abonnement sur celui du canard, histoire de ne pas tomber sous le coup de la loi interdisant la vente à perte. Eh oui  ! nos aimables 28 euros ne permettaient plus de financer un journal s’alourdissant de 8 pages et de 80 000 signes. Dès le mois prochain et notre n°147, l’abo passera de 28 à 36 euros et le petit budget de 22 à 29 balles. C’est donc la dernière fois que nous écrivons ici  : ABONNEZ-VOUS pendant qu’il en est encore temps – le mois prochain, ça sera plus reuch. La bonne nouvelle, c’est que tout détenteur d’une fiche S peut désormais bénéficier d’un abonnement gratuit (sur présentation de ladite-fiche)  !

Si l’abonnement individuel et collectif est essentiel à notre survie, les dépôts en librairie le sont tout autant. Donc, rendez-nous un service, parlez-en à vos libraires préférés en exigeant qu’ils nous demandent un dépôt à cette adresse  : abonnement@cqfd-journal.org.

Carnet rose : Le 21 juillet dernier, le petit Zyad a vu le jour dans ce monde cruel et la petite Lou nous rejoignait un mois plus tard. On leur souhaite que des belles choses.

Cet article fantastique est fini. On espère qu’il vous a plu.

Nous, c’est CQFD, plusieurs fois élu « meilleur journal marseillais du Monde » par des jurys férocement impartiaux. Plus de vingt ans qu’on existe et qu’on aboie dans les kiosques en totale indépendance. Le hic, c’est qu’on fonctionne avec une économie de bouts de ficelle et que la situation financière des journaux pirates de notre genre est chaque jour plus difficile : la vente de journaux papier n’a pas exactement le vent en poupe… tout en n’ayant pas encore atteint le stade ô combien stylé du vintage. Bref, si vous souhaitez que ce journal puisse continuer à exister et que vous rêvez par la même occas’ de booster votre karma libertaire, on a besoin de vous : abonnez-vous, abonnez vos tatas et vos canaris, achetez nous en kiosque, diffusez-nous en manif, cafés, bibliothèque ou en librairie, faites notre pub sur la toile, partagez nos posts insta, répercutez-nous, faites nous des dons, achetez nos t-shirts, nos livres, ou simplement envoyez nous des bisous de soutien car la bise souffle, froide et pernicieuse.

Tout cela se passe ici : ABONNEMENT et ici : PAGE HELLO ASSO.
Merci mille fois pour votre soutien !

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