Dix years after

«  Alors CQFD  ! Vous êtes blindés de thunes ? » entend-on régulièrement depuis notre fameux appel aux dons. Remarquable ! Chères et chers lectrices, lecteurs, contributueuses et tueurs, généreux fileurs de coups de mains, donateurs et légatrices, expéditeurs et trices de chèques et biftons, collègues de la presse indépendante (sauf Edwy Plenel), nous pouvons vous dire que, à l’heure qu’il est, nous avons atteint le quart de notre objectif pharaonique. Tout cela devrait nous permettre de respirer un peu et de voir venir. Jusqu’à quand reste une question entière, tant est grande la précarité de l’exercice de la presse. Et pas seulement du point de vue de l’argent.

Dix ans, donc, maintenant que votre mensuel débat et se débat. Dans le prochain numéro nous reviendrons, avec un supplément de huit pages, sur cette décennie avec l’intention et la nécessité de continuer à témoigner sur ce qui nous et vous enrage, mais aussi sur les possibilités d’expérimenter d’autres modes sociaux. Le culte de l’argent et la passion du pouvoir, et les dégâts qu’ils occasionnent, n’ont pas fini d’entendre parler de nous tous…

PS : un grand merci à La Décroissance pour son clin d’œil du mois de mars.

Facebook  Twitter  Mastodon  Email   Imprimer
1 commentaire
  • 19 avril 2013, 14:03, par Jonas Hopp

    Peut être faudrait commencer par répondre aux mails qu’on envoie pour espérer des nouveaux abonnés. J’ai envoyé un mail le 9 février à abonnement@cequilfautdetruire.org et toujours pas de réponses.. ?!

    J’apprécie le journal, mais si on ne peut pas s’abonner sur internet il va m’etre difficile de convaincre quelques foyers.. Simplifiez les procédures et ça ira peut-être un petit peux mieux.