En réponse à
« L’éducation populaire mise au pas »
(publié le 30 décembre 2020 par Tom Vieillefond)
Parce qu’elles sont soumises à un contrôle accru et à un conditionnement de leur financement, certaines associations d’éducation populaire finissent par accompagner l’État dans ses dérives réactionnaires. Du soutien au Service national universel à la ratification d’une déclaration contre le « séparatisme », l’éduc’ pop’ prend l’eau.
« Un dialogue de sourds » : c’est par ces mots que la Fédération des centres sociaux (FCSF) décrit sur son site la rencontre qu’elle a organisée en octobre entre la secrétaire d’État (...)