En réponse à
« Les maux de la fin »
(publié le 19 février 2013 par Tristan Thil)
Le mois de décembre aura été particulièrement dégueulasse cette année à Florange. De la pluie, du gris, le patron multimilliardaire qui ferme la boutique, les politiques qui se couchent et laissent crever ceux qui les ont élus. Et cet intolérable silence des machines à l’arrêt, des ouvriers aphones et des « élites impuissantes ». Un vrai temps lorrain, quoi !
Déjà en 2009, à Gandrange, par une météo assez similaire, quelqu’un avait cimenté une pierre tombale devant l’usine fermée, en reprenant les mensonges (...)