En réponse à
« Abolir la guillotine sèche »
(publié le 19 octobre 2012 par Sébastien Navarro)
Les prisonniers politiques euskariens ont eu du bol cet été : pour un temps, l’ombre de leur carcérale condition a été titillée par les projos des médias. Outre-Pyrénées, ils sont quatorze en fin de vie à moisir en zonzon tandis que dehors la traque des militants indépendantistes continue.
Jeudi 30 août 2012, José Luis Castro, juge de l’Audiencia Nacional, haute juridiction espagnole compétente en matière de terrorisme, accordait, dans sa grande mansuétude, un régime de semi-liberté à Iosu Uribetxeberria, (...)