En réponse à
« Balade dans une poudrière »
(publié le 10 septembre 2012 par Momo Brücke)
Cheminant depuis son village proche de la frontière mauritanienne jusqu’à Bamako, Moussa nous raconte ce qu’il a vu et entendu durant le coup d’État au Mali. Entre sentiment d’abandon, autonomie vécue plus que revendiquée et présence militaire qui se renforce à mesure que l’on approche de la capitale. Récit.
« J’ai appris l’existence du coup d’État à la radio, le lendemain, le 22 mars. » À Kersignané, dans l’ouest du Mali, à quelque six cents kilomètres de Bamako, la déclaration des mutins a causé de vives (...)