En réponse à
« « Pause technique » pour les précaires »
(publié le 3 janvier 2011 par François Maliet)
Selon la préfecture de Provence-Alpes-Côte d’Azur, les caisses sont vides : impossible d’assurer, d’ici la fin de l’année, la création ou le renouvellement de contrats aidés dans le secteur non marchand. Sophie, comme nombre de chômeurs et précaires, en fait les frais.
À 26 ans, une licence professionnelle en poche, elle a déménagé pour trouver du travail. Pour rien. L’été dernier, une fois ses études terminées, Sophie a demandé à bénéficier du RSA puis s’est lancée dans la fameuse « recherche active (...)