En réponse à
« « Les parents continuent de considérer l’enfant comme leur propriété » »
(publié le 20 octobre 2020 par Tiphaine Guéret)
Rarement remise en cause, la domination exercée par les adultes sur les enfants apparaît souvent comme « allant de soi », voire comme une condition sine qua non pour assurer la protection et le « bon développement » des plus jeunes. Autant de justifications qu’Yves Bonnardel, auteur du livre La Domination adulte : l’oppression des mineurs, refuse en bloc. Pour lui, cette domination est à envisager au même titre que les autres : systémique et politique, elle profiterait aux premiers sans manquer de (...)