Aussi fin que l’article, c’est en effet dommage de substituer la provocation (« du sperme dans les cheveux » du sexe du SEXE) à l’approfondissement du sujet (qui s’inscrit dans une institutionnalisation plus large (originelle ?) de la culture du viol, à l’« armée » le sexe une « arme » comme les autres, le lien entre sexe-guerre-intimidation-conquête-soumission-viol ? ) Ça me révolte, c’est qu’il y a tant à dire, ou peu mais mieux, sans faire l’impasse sur la réflexion quand on manie un sujet si profond. C’est limite les « soirées arrosées », chez cqfd aussi on fait des connexions foireuses entre responsabilités, alcool et viol ? J’aime beaucoup ce journal, mais j’avais déjà remarqué cette erreur de casting.
Aussi fin que l’article, c’est en effet dommage de substituer la provocation (« du sperme dans les cheveux » du sexe du SEXE) à l’approfondissement du sujet (qui s’inscrit dans une institutionnalisation plus large (originelle ?) de la culture du viol, à l’« armée » le sexe une « arme » comme les autres, le lien entre sexe-guerre-intimidation-conquête-soumission-viol ? ) Ça me révolte, c’est qu’il y a tant à dire, ou peu mais mieux, sans faire l’impasse sur la réflexion quand on manie un sujet si profond. C’est limite les « soirées arrosées », chez cqfd aussi on fait des connexions foireuses entre responsabilités, alcool et viol ? J’aime beaucoup ce journal, mais j’avais déjà remarqué cette erreur de casting.