En réponse à
« Prenez, et mangez-en tous »
(publié le 6 février 2020 par Emilien Bernard)
Rapide incursion en terre cannibale, où l’on voit que le zombie mangeur de cervelle est davantage fils de capitalisme que d’épidémie.
Il n’en revient pas, Charlton Heston, ce grand dadais réac : tout au long de Soleil vert, film de Richard Fleischer sorti en 1973 et décrivant l’horizon 2022, son personnage galope de désillusion en désillusion, sa barbe blonde frétillant d’indignation comme une peluche épileptique. Ça commence piano : « Cette margarine est rance ! » Et ça finit staccato : « Ce que nous (...)