En réponse à
« Marseille, derrière la carte postale »
(publié le 12 novembre 2019 par l’équipe de CQFD)
Cela fait un bail que la mairie de Marseille cherche à gommer l’image d’une ville canaille, populeuse et populaire, pour en faire une métropole business friendly, attirer entreprises, cadres dynamiques et touristes. Quitte à employer des méthodes douteuses, à verser dans l’épuration sociale et à refuser de traiter les vrais problèmes, comme celui de l’habitat indigne. Il y a un an, huit personnes l’ont payé de leur vie dans l’effondrement de leur immeuble. Dossier de dix pages.
Quelques tas de gravats, (...)