En réponse à
« Syndicalistes dans la tourmente »
(publié le 13 novembre 2019 par Loez)
Suite au coup d’État manqué du 15 juillet 2016, des purges ont touché tous les secteurs de la société turque. L’État tente de bâillonner les opposants, dont les syndicats qui ne suivent pas sa ligne – leurs membres sont licenciés en masse. Sans salaire, ces derniers peuvent heureusement s’appuyer sur la solidarité syndicale.
En Turquie, le mouvement syndical est divisé. D’un côté, les syndicats nationaux, directement inféodés au régime turc, ou au moins complices par leur silence. De l’autre, les (...)