Amoureux de la nature, marcheur dans les étendues « sauvages » des Alpes et des Pré-Alpes, je ne peux que souscrire à cet acte de foi qu’est devenu l’estive. Je ne peux que respecter ces gardiens de nos territoires, gardiens du lieu, de la mémoire et de l’écosystème.
Quant aux écologistes urbains, je pense qu’ils n’ont jamais rencontré un berger pleurant la disparition de ses bêtes après l’attaque, nocturne, d’un meute de loups.
Malgré mon aversion pour les armes, bergers je suis avec vous.
Amoureux de la nature, marcheur dans les étendues « sauvages » des Alpes et des Pré-Alpes, je ne peux que souscrire à cet acte de foi qu’est devenu l’estive. Je ne peux que respecter ces gardiens de nos territoires, gardiens du lieu, de la mémoire et de l’écosystème. Quant aux écologistes urbains, je pense qu’ils n’ont jamais rencontré un berger pleurant la disparition de ses bêtes après l’attaque, nocturne, d’un meute de loups. Malgré mon aversion pour les armes, bergers je suis avec vous.
JM du Vercors.