En réponse à
« « Le tourisme est une industrie extractiviste » »
(publié le 1er juillet 2019 par Cécile Kiefer,
Clair Rivière)
À Barcelone, la surfréquentation touristique détruit chaque année davantage les équilibres socio-urbains. Un rouleau compresseur économique contre lequel s’élève l’ABTS (Assemblea de barris per un turisme sostenible), un regroupement de diverses associations et assemblées de quartiers. Dans un petit bar de la vieille ville, entretien avec le militant Daniel Pardo.
Ton organisation s’appelle « Assemblée de quartiers pour un tourisme soutenable ». C’est possible, un « tourisme soutenable » ?
« Non. (...)