En réponse à
« Violences policières : Ali Ziri, mort d’un chibani »
(publié le 15 mars 2019 par l’équipe de CQFD)
Ouvrier à la retraite, Ali Ziri a eu le malheur de revenir de Kabylie en France pour faire quelques achats avant le mariage de son fils...
Mais le 9 juin 2009, à Argenteuil (Val-d’Oise), il joue aux dominos et boit plus que de raison avec un ami. La suite : un contrôle routier, le commissariat, puis la mort. Le décès survient 48 heures après.
La police voudrait vite renvoyer le corps au bled après une expertise médicale bidonnée qui diagnostique une hypertrophie cardiaque. « Une sorte de mort (...)