En réponse à
« État d’urgence, état d’hypnose »
(publié le 27 avril 2018 par Bruno Le Dantec)
Peut-on déserter une guerre globale ? Une guerre où les adversaires – le terrorisme et l’antiterrorisme – se nourrissent l’un l’autre en provoquant sidération et clivages pour mieux enrôler les populations sous leurs drapeaux ?
Il faudra d’abord rompre l’hypnose.
Le vendredi 13 au soir, les balles ont sifflé à nos oreilles en temps réel, via les réseaux sociaux. Les mauvaises nouvelles voyagent vite et semblent s’autogérer par SMS, Facebook, Twitter… Mais là, contrairement au 7 janvier dernier, j’ai (...)