En réponse à
« « Sweet mama », mon cul ! »
(publié le 26 janvier 2018 par Emilien Bernard)
En rééditant Blues et féminisme noir, ouvrage de la grande Angela Davis publié en 1998 aux États-Unis, les éditions Libertalia offrent une belle porte d’’entrée aux œuvres de deux grandes blueswomen, Bessie Smith et Gertrude « Ma » Rainey. Des battantes privilégiant les rasoirs aux pincettes.
« I’ve got the world in jug, stopper’s in my hand / I’m gonna hold it until you men come under my command. » Il faut imaginer l’envoûtante Bessie Smith (1894-1937) chanter ceci dans les années 1930. Le proclamer avec (...)