Il y a aussi des gens qui l’ont lue et qui ont béatement cru à cet amour révolutionnaire.
En tout cas, à ma connaissance, aucun de ceux qui défendent HB ne s’est risqué à expliquer ce qu’elle a vraiment voulu dire dans cette phrase :
« Le pire, c’est mon regard, lorsque dans le rue je croise un enfant portant une kippa. Cet instant furtif où je m’arrête pour le regarder. Le pire c’est la disparition de mon indifférence vis-à-vis de vous [les Juifs], le possible prélude de ma ruine intérieure. »
Comment justifier ça ?
Pourtant il suffit de remplacer "un enfant portant une kippa" par "une jeune fille voilée", ou "un enfant rom" pour comprendre ce qu’elle a d’intolérable.
Voulez-vous essayer de la justifier @gavroche ? Et nous dire à côté de qui on est passé ?
Il y a aussi des gens qui l’ont lue et qui ont béatement cru à cet amour révolutionnaire.
En tout cas, à ma connaissance, aucun de ceux qui défendent HB ne s’est risqué à expliquer ce qu’elle a vraiment voulu dire dans cette phrase : « Le pire, c’est mon regard, lorsque dans le rue je croise un enfant portant une kippa. Cet instant furtif où je m’arrête pour le regarder. Le pire c’est la disparition de mon indifférence vis-à-vis de vous [les Juifs], le possible prélude de ma ruine intérieure. »
Comment justifier ça ? Pourtant il suffit de remplacer "un enfant portant une kippa" par "une jeune fille voilée", ou "un enfant rom" pour comprendre ce qu’elle a d’intolérable. Voulez-vous essayer de la justifier @gavroche ? Et nous dire à côté de qui on est passé ?
Ci-devant, sans doute la meilleure critique du bouquin d’HB : https://www.europe-solidaire.org/spip.php?article38866