Je suis plutôt libertaire et ne me reconnais pas du tout dans le mépris surplombant de Lordon pour cette famille de pensée, mais suis tout aussi méfiante vis à vis de la notion de « nature humaine », qu’elle soit jugée foncièrement altruiste ou foncièrement égoïste. Il n’existe pas d’humain sans interaction avecn environnement, donc une culture, les rares exceptions (enfants loups) ont adopté la « culture » de l’animal adoptant. On tombe vite dans l’essentialisme , comme celui qui stipule 1% (poru quoi ce pourcentage) de "sociopathes ... Toute caractérisation essentialiste de l’humain par la génétique me semble une pente dangereuse.
Je suis plutôt libertaire et ne me reconnais pas du tout dans le mépris surplombant de Lordon pour cette famille de pensée, mais suis tout aussi méfiante vis à vis de la notion de « nature humaine », qu’elle soit jugée foncièrement altruiste ou foncièrement égoïste. Il n’existe pas d’humain sans interaction avecn environnement, donc une culture, les rares exceptions (enfants loups) ont adopté la « culture » de l’animal adoptant. On tombe vite dans l’essentialisme , comme celui qui stipule 1% (poru quoi ce pourcentage) de "sociopathes ... Toute caractérisation essentialiste de l’humain par la génétique me semble une pente dangereuse.