Spinoza, n’a jamais été pour l’auto-gouvernement, ou l’autogestion. Avec Spinoza, la multitude doit être sous le coup d’un « pouvoir de commandement ».
« De là vient que nulle société ne peut subsister sans un pouvoir de commandement et une force, et par suite sans des lois qui modèrent et contraignent l’appétit du plaisir et les passions sans frein » (Traité des autorités théologique et politique).
Beaucoup de libertaires malheureusement se réfère à Spinoza, depuis que Deleuze en a exacerber les aspects désirant, au détriment effectivement d’autres auteurs plus proche simplement de la connaissance de l’Histoire des vivants (évolution).
Spinoza, n’a jamais été pour l’auto-gouvernement, ou l’autogestion. Avec Spinoza, la multitude doit être sous le coup d’un « pouvoir de commandement ». « De là vient que nulle société ne peut subsister sans un pouvoir de commandement et une force, et par suite sans des lois qui modèrent et contraignent l’appétit du plaisir et les passions sans frein » (Traité des autorités théologique et politique). Beaucoup de libertaires malheureusement se réfère à Spinoza, depuis que Deleuze en a exacerber les aspects désirant, au détriment effectivement d’autres auteurs plus proche simplement de la connaissance de l’Histoire des vivants (évolution).