En réponse à
« Mexique : Ayotzinapa, crime d’État ? »
(publié le 16 janvier 2015 par Patxi Beltzaiz,
Véro Traba)
La disparition des 43 étudiants d’Ayotzinapa a mis fin à la loi du silence qui entourait l’impunité, la corruption et les complicités officielles avec le narcotrafic. Le Mexique se réveille avec des centaines de fosses clandestines sous ses pieds – plus de 22 000 disparus – et crie ¡ Basta ! Reportage.
La tragédie d’Ayotzinapa aura au moins eu le mérite de faire tomber un tabou. Carlos, militant social de la communauté Emperador Cuauhtémoc l’affirme : « Ayotzinapa vient faire rupture, un point de (...)