En réponse à
« Du terroir au mouroir »
(publié le 10 juillet 2014 par Sébastien Navarro)
Dans le sud de l’Aude, sur les coteaux des Hautes-Corbières, la terre est argilo-calcaire. C’est ici qu’Hervé a racheté quatre parcelles de vieilles vignes délaissées par les viticulteurs car aucun tracteur viticole ne peut frayer entre les rangs serrés des ceps.
Hervé travaille à la main : il ébourgeonne ses vignes à l’ancienne, les taille pour leur donner une belle forme. Quand vient l’heure des vendanges, il fait appel aux amis. Si partout ailleurs la cueillette du raisin rime avec rentabilité, ici (...)