En réponse à
« La révolution à reculons ? »
(publié le 12 septembre 2013 par Simon Grysol)
On pourrait débattre sans fin du caractère progressiste du Venezuela bolivarien. De l’importance des politiques sociales, de la lutte contre la pauvreté, du développement des médias communautaires, des conseils communaux, de la portée que peuvent avoir les discours révolutionnaires et communistes sur le peuple depuis une décennie. Mais force est de constater qu’au pays de feu Chavez, la révolution n’a pas eu lieu. Depuis 14 ans, l’économie du pays est restée à 70 % aux mains de détenteurs de capitaux (...)