En réponse à
« Le PS rosse au poing »
(publié le 11 avril 2011 par Jeanne Vandenbroucke)
Le 30 juillet 2010, après les émeutes qui suivirent la mort violente d’un homme soupçonné de braquage, Nicolas Sarkozy négocia un énième virage sécuritaire lors de son désormais célèbre discours de Grenoble. Rien d’étonnant de la part de celui qui, ayant fait de l’insécurité son fonds de commerce électoral, est passé maître en son art. La droite n’est cependant point la seule à faire sonner le gong sécuritaire à chaque fait divers, et les camarades socialistes voudraient se faire aussi gros que le bœuf en (...)