En réponse à
« Le bronze-cul de Vénus »
(publié le 16 mai 2013 par Sébastien Navarro)
Le poète Francis Coste voyait dans la baie de Banyuls-sur-Mer l’empreinte laissée par les fesses de Vénus. De fait, la côte Vermeille n’en finit pas d’exciter les fièvres immobilières. Le maire veut agrandir le port dans l’espoir d’y attirer des yachts de luxe. Et si on consulte parfois la population locale, c’est pour lui faire goûter la farine dans laquelle elle sera roulée.
Le ton est donné dès l’entrée du village. Après un rond-point dédié à la mémoire de Marcel Bigeard, un premier panneau prévient que (...)