En réponse à
« Grande braderie chez Total ! »
(publié le 3 mai 2013 par Jean-Pierre Levaray)
Il y a eu des signes avant-coureurs comme le départ de notre directeur alors qu’il n’avait même pas deux ans de fonction sur le site. Il y a eu aussi les départs de certains cadres de l’usine et, plus nombreux encore, du siège social. Comme des rats quittant le navire. Mais on n’a pas trop fait gaffe. Et puis il y a eu les communiqués de presse pour nous annoncer que Total allait vendre sa filiale engrais. L’acquéreur serait Borealis, un groupe autrichien aux capitaux venant d’un fond d’investissement (...)