Eternel problème du dessin humoristique…
Ce genre de dessin ne joue pas sur les clichés mais se moque justement des clichés. Goscinny expliquait, par exemple qu’il ne se moquait pas des Espagnols dans Astérix en Hispanie, mais plutôt de l’image que les gens se faisaient des Espagnols.
Faut-il rappeler que l’humour juif, qui a nourrit l’humour moderne repose en grande partie sur l’autodérision ?
A chacun de s’éduquer pour savoir reconnaître un dessin antisémite (qu’on peut trouver sur le site de Soral par exemple) d’un pure pastiche.
C’est vrai que le second degré n’est pas donné à tout le monde. Les esprits dogmatiques en sont particulièrement dépourvus.
Eternel problème du dessin humoristique… Ce genre de dessin ne joue pas sur les clichés mais se moque justement des clichés. Goscinny expliquait, par exemple qu’il ne se moquait pas des Espagnols dans Astérix en Hispanie, mais plutôt de l’image que les gens se faisaient des Espagnols. Faut-il rappeler que l’humour juif, qui a nourrit l’humour moderne repose en grande partie sur l’autodérision ? A chacun de s’éduquer pour savoir reconnaître un dessin antisémite (qu’on peut trouver sur le site de Soral par exemple) d’un pure pastiche. C’est vrai que le second degré n’est pas donné à tout le monde. Les esprits dogmatiques en sont particulièrement dépourvus.