En réponse à
« Des moments de révolution »
(publié le 8 octobre 2012 par Gilles Lucas)
« Quand on voit ce qu’il se passe aujourd’hui, on peut se dire que ce n’était pas la peine de virer les dictateurs », arrive-t-il d’entendre un an et demi après le début des « Printemps » arabes. N’en déplaise aux zélateurs mystiques du grand soir dont le mot d’ordre serait « tout sinon rien », deux chercheurs en sciences sociales reviennent pour CQFD sur les « moments révolutionnaires » qu’ont connus la Tunisie et la Libye. Amin Allal, chercheur à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence, a observé (...)