Nationaliser les banques n’a jamais coûté aussi peu cher.
La capitalisation boursière du Crédit Agricole, qui chute constamment, c’est 5 milliards d’euros. Pour l’Etat, 5 milliards c’est la moitié des baisses d’impôts dus à la suppression de la taxe professionnelle par le sarkozysme triomphant. Une somme dérisoire surtout si l’on compare aux 100 milliards que l’Etat a déjà sorti en partenariat avec les belges pour sauver Dexia et éviter que l’accélération de la crise mondiale ne vienne d’une banque française. SocGen, c’est 19 milliards donc 9,5 à sortir par l’Etat pour prendre la majorité des parts.
La nationalisation et la transformation des banques françaises en banques publiques coopératives, c’est pour maintenant ? Plutôt lors de la très prochaine panique boursière. Souviens toi l’été dernier...
Nationaliser les banques n’a jamais coûté aussi peu cher. La capitalisation boursière du Crédit Agricole, qui chute constamment, c’est 5 milliards d’euros. Pour l’Etat, 5 milliards c’est la moitié des baisses d’impôts dus à la suppression de la taxe professionnelle par le sarkozysme triomphant. Une somme dérisoire surtout si l’on compare aux 100 milliards que l’Etat a déjà sorti en partenariat avec les belges pour sauver Dexia et éviter que l’accélération de la crise mondiale ne vienne d’une banque française. SocGen, c’est 19 milliards donc 9,5 à sortir par l’Etat pour prendre la majorité des parts. La nationalisation et la transformation des banques françaises en banques publiques coopératives, c’est pour maintenant ? Plutôt lors de la très prochaine panique boursière. Souviens toi l’été dernier...