En réponse à
« L’Estaque prend la route »
(publié le 4 juin 2010 par Nicolas Arraitz)
Un collège marseillais rue dans les travées.Grèves,camping-occupation, assemblées communes profs-parents et « caravane pour l’éducation » poussant la colère jusqu’à Paris. Contre la casse, si les hiérarchies sont en dessous de tout, la base est, elle, bien remontée.
« APRÈS NOUS AVOIR LICENCIÉS, ils s’en prennent à nos enfants ! » Le slogan sonne clair dans ce quartier du nord de Marseille où la mentalité ouvrière reste vive malgré la fin des industries locales. C’est sous un soleil frileux et autour d’une (...)