En réponse à
« Édito du 99 »
(publié le 14 avril 2012 par l’équipe de CQFD)
Quel plaisir d’être ainsi convoité par tous ces hommes et femmes politiques qui ne cessent de surenchérir pour nous séduire. Habitués à être oubliés ou méprisés, nous voilà, pour quelques semaines, objets de toutes les minauderies et bouches en cœur, pendant que les prétendants s’écharpent pour passer ne serait-ce qu’une brève nuit électorale avec nous – fuck and run. Comment ne pas céder à cette petite excitation ? Qu’elle se décline dans les solennels débats « pour » ou « contre » le geste électoral, ou dans (...)