En réponse à
« À travers les villes imaginaires et les cités-laboratoires »
(publié le 7 mars 2012 par Noël Godin)
Le binocle bakouninien au bout du nez, faisons un petit tour dans les livres récents axés sur la réimagination de la vie sociale.
« Utopie, j’écris ton nom » (Les Arènes), le n°16 de la revue XXI du « journalisme debout » sans pubs, commence mal. On y ramasse toute l’histoire de l’utopie en trois noms : le cagot Thomas More, le prosaïque Voltaire (dont le Candide préfère l’agriculture potagère à la ripaille dans l’Eldorado) et le révérend Martin Luther King. Après, ça va mieux. Car c’est sans complaisance (...)