En réponse à
« « On cherche à nous ubériser » »
(publié le 31 mars par Francesco Nocera)
Parti début mars de l’Odéon, à Paris, le mouvement d’occupation des théâtres a essaimé dans plusieurs régions. Et notamment en Alsace, où le Théâtre national de Strasbourg est occupé à son tour. Trois questions à Quentin, étudiant comédien.
C’est un mouvement pour la culture, certes, mais aussi pour les précaires du secteur – et les autres, tous ceux qui sont frappés de plein fouet par la crise économique liée au Covid-19. Les revendications ? Multiples. Entre autres : la réouverture des salles de spectacle, (...)