En réponse à
« Et maintenant, le fichage des opinions »
(publié le 5 janvier par Clair Rivière)
Depuis début décembre, police et gendarmerie ont le droit de ficher les opinions politiques des individus qu’elles estiment susceptibles de porter atteinte à la « sécurité publique » et à l’intégrité des « institutions de la République ». Elles peuvent également recueillir les convictions philosophiques et religieuses, ainsi que certaines données de santé.
Le 4 décembre dernier, en pleine controverse sur la loi « Sécurité globale » et les violences policières, Emmanuel Macron ose déclarer sur Brut : « Je ne (...)