En réponse à
« « 1984 doit rester un roman populaire » »
(publié le 28 décembre 2020 par Margaux Wartelle)
« Covid-1984 », lit-on sur les murs des villes ces temps-ci. « Big Brother », « police de la pensée », « novlangue » : c’est peu dire que l’œuvre la plus connue de George Orwell, publiée en 1949, fait régulièrement parler d’elle, tant l’imaginaire terrifiant qu’elle décrit est d’une troublante actualité – à base de surveillance généralisée, de post-vérité et de saccage des libertés. Alors qu’une nouvelle édition sortira chez Agone en janvier prochain, on s’est entretenus avec sa traductrice, Celia Izoard. Elle nous (...)