En réponse à
« L’utopie ou la mort »
(publié le 2 juin 2020 par Noël Godin)
Mettre le cap sur l’utopie, c’est aussi porter un toast guilleret aux rarissimes maisons d’édition flirtant avec des utopies révolutionnaires. À la manière des Presses du réel qui ont réédité crânement le plus transgressif appel qui soit aux chamboulements merveilleux : Le Nouveau Monde amoureux de Charles Fourier (années 1820). Ou à celle du Passager clandestin, une machine à fabriquer des livres séditieux qui est une téméraire utopie en elle-même puisqu’elle ne propage que des ouvrages réimaginant (...)