En réponse à
« Le business du diesel de « qualité africaine » »
(publié le 17 octobre 2019 par Clair Rivière)
Des négociants occidentaux intoxiquent l’Afrique de l’Ouest avec des carburants low cost, contenant jusqu’à 378 fois la dose maximum de soufre autorisée en Europe. Pour augmenter les marges, les fluides sont coupés avec des matières dangereuses.
C’est en 2016, au bout de trois ans d’enquête, qu’une ONG suisse, Public Eye, a dévoilé le scandale : des négociants helvétiques (mais pas que) inondent le marché ouest-africain avec des carburants ultra-polluants, profitant sans vergogne des largesses (...)