En réponse à
« À chaque bled son synthé »
(publié le 21 septembre 2019 par Margo Chou,
Mohamed Kably)
Un samedi soir, nous dérivons jusque dans un cabaret oriental de la rue de Lyon. Dans ce décor sombre, intime et sans esthétique particulière, nous nous lançons dans une longue tchatche autour des claviers kitsch qui nappent la vie nocturne des Balkans et du Maghreb. Ici, c’est Marseille.
Dès l’entrée, similaire à celle du palais de justice avec ses colonnes athéniennes en faux stuc, un son aigu de clavier-synthétiseur nous souhaite la bienvenue. Ambiance feutrée / enfumée. Des gens sapés sont (...)