En réponse à
« En Algérie, la révolution patiente »
(publié le 24 mai 2019 par Keltoum Staali,
Margaux Wartelle)
Quelques grandes têtes sont tombées, mais le « système » algérien s’accroche. Alors, malgré le départ de Bouteflika et l’annonce d’élections en juillet, les rues ne désemplissent pas, portées par l’espoir que le surgissement du 22 février mène à de véritables changements.
« Quand ça s’installe dans la durée, les médias s’ennuient. » Voilà ce qu’a répondu Hacen Ouali, journaliste à El Watan, quand nous lui avons demandé pourquoi l’Algérie avait quasiment disparu des radars médiatiques français. Alors, quoi de neuf (...)